dimanche 11 janvier 2009

The last night : Jour 16

Matinée causette avec Kathey. Ça fait du bien de rester un peu à la maison surtout après la journée d’hier assez intense. Nous papotons jusqu’à tard: les hommes, l'amour, les emmerdes... En milieu d’après midi je vais faire mes dernières courses / cadeaux. La journée se termine vite. Ce soir c’est mon dernier soir et j’ai prévu d’aller boire un verre avec les potes. Comme je ne savais pas ou jusqu’à presque la dernière minute je n’ai pas pu invité tout les gens que j’aurais voulu.

Vers 19h je tombe de fatigue sur le canapé et je m’endors une bonne heure.

Kathey et Louis ont un anniversaire. Je n'ai pas le courage de sortir pour le moment et je propose de rejoindre tout le monde directement au bar.
J'arrive vers 10h là bas en croyant être en retard. En fait c'est vide. J'ai des doutes sur le lieu mais non, c'est bien le bon bar. je sorts de quoi écrire pour me donner un peu de contenance et j'attends patiemment en sirotant une brune. La salle se remplie petit à petit. Mes amis arrivent une bonne demie heure plus tard. C'est vraiment bon de voir une dernière fois ma petite famille de Montréal. Louis arrive un peu plus tard avec Kathey, Remi et l'amie de Remi. Nous passons un bon moment. Le temps file et le bar est plein à craquer.

Je prend des photos très peu avantageuses de tout le monde : une occasion de rire encore un peu.

























l'espace est comble, les DJ ont monté le son. Il est temps de partir. Pour certain c'est ici que nos chemins se séparent. Nous nous serrons longuement dans les bras des un des autres. Comme il était bon d'avoir partagé du temps avec eu. Comme je suis heureuse d'avoir fait la connaissance de certains. La plus part d'entre eux sont des itinérants. Je ne sais pas ou je les reverrais. je ne sais pas quand.














Je rentre passer ma dernière nuit sur mon canapé chéri. Je n'ai rien préparer, je déteste faire mes sacs. Demain je me lèverais tôt; heureusement mon avions n'est pas tôt. Louis se propose de venir m'aider jusqu'à la gare routière, d'où je prendrais un bus jusqu'à l'aéroport.

J'accepte plutôt deux fois qu'une ; porter tout ce barda seule m'est impossible ou alors... très douloureux.

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