mardi 17 mars 2009

Dimanche 15 : moment de solitude




































Bizarrement j’ai bien bien dormi, longtemps, longtemps… la matinée se passe en douceur. Déjeuner, discussion au tour du jeu vidéo, résumé de Lost. Bref on ne fait pas grand-chose en attendant que tout le monde soir prêt pour aller voir la fabrique de beau fort. J’ai décidé d’arrêter le ski, mais genoux me font trop souffrir. Je prévois de me faire une rando en raquettes, seule.
Carole, Rozenn et Remi partent sur les pistes.

Les amis de Carole qui partent déjà aujourd'hui, en fin d'après midi, ont décidés de se la jouer farniente en cette belle journée. Ils m’emmènent au saisies ou se situe le point de départ d’un parcours de raquette que j’ai choisi : 2h30 de parcours au milieu du domaine Norvégien qui se trouve aussi être une réserve naturelle.















































J’ai enfin fait mon expérience « In to the wild ». C’est tellement paisible là haut ! la neige a été à peine touchée par l’homme et si on se suit pas les petits chemins balisés on peut s’enliser d’au moins un mettre.



















L’envie est grande de se jeter dans ces gros coussins cotonneux, mais imaginer la difficulté à s’en extirper me suffit pour abandonner cette idée. Malheureusement, une envie d’aller aux toilettes vient gâcher le tableau. Il me teste 2h de randonnée à faire et hors de question pour moi d’aller investir un tronc d’arbre déjà ils sont ensevelis sur plus d’un mettre, mon camouflage n’est pas au point et si quelqu’un passe, je ne m’en remettrais pas. Je prends quand même le temps de faire quelques photos mais je ne me sens vraiment pas bien.

Le soleil commence à décliner et j’ai l’impression de tournée en rond. En effet je tourne en rond mais c’est normal c’est une boucle. Le retour me semble en plus finir. La cerise sur le pompon, un pivot se devise sur ma raquette de gauche, ce qui fait qu’elle sort continuellement de ses gonds et se positionne de travers. Quand j’atteins enfin la piste pour randonneur pédestres, il n’y a plus âme qui vive à 1 km à la ronde (à part un homme qui joue avec ses chiens). Carole m’appelle et me propose de venir me chercher en voiture, ce que je ne refuse pas. J’oublie que j’ai une vessie et je prie pour trouver des toilettes près de ce qui fut mon point de départ. Je passe les détails mais béni l’inventeur des toilettes publique a nettoyage automatique. Après ce grand moment de solitude je me sens revenir à la vie. La troupe vient me chercher et nous rentrons au chalet. Je me demande si il pourrait m’arriver de faire des choses et que TOUT se passe bien ; Je n’en suis pas si sur.


Ce soir nous mangeons « normalement » : Pas de plat savoyard à base de fromage et de fromage.
Nous regardons Dance Machine en DVD, certes avec de jolis passages de danse mais avec la fin la plus absurde qu’il m’ai été permis de voir !

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